Thursday, February 19, 2015

IL AVAIT PREVENU LES ZAIROIS CONTRE L'AFDL EN NOVEMBRE 1996. IL N'A PAS ETE ECOUTE

LETTRE OUVERTE (Novembre 1996)
Écrite par le Prophète de l’Éternel, Joseph MUKUNGUBILA MUTOMBO.
Publiée par les journaux ci-après :
1. La Conscience, numéro 259 pages 2. Du 3 au 28 Novembre 1996
2. Beto na Beto, numéro 79 pages 5. Du 6 Décembre 1996

Au Président de la République,
Au Président du Haut Conseil de la République, parlement de Transition, HCRPT en sigle,
Au chef du Gouvernement,
A toute la classe politique,
A tous ceux qui interviennent à quelqu’échelon que ce soit dans l’appareil de l’Etat

Jusqu’à ce jour mon message que reprenait la presse écrite et audiovisuelle avait pour auditoire au premier chef le peuple Zaïrois et tous ceux, de par toute la planète, sont appelés à connaître le plan de Dieu pour notre temps à partir de notre pays selon ce qui avait été annoncé d’avance par les prophètes. Je crois l’avoir démontré sans équivoque…
La Conscience numéro 259, pages 2. Du 3 au 28 novembre 1996

Aujourd’hui les circonstances imposent que je cible mon intervention comme repris ci-haut. Ainsi donc, si ma lettre s’adresse à vous, Citoyen Président de la République et ce faisant je m’adresse au Président du HRPT, au Chef du Gouvernement, à toute la classe politique ainsi qu’à tous ceux qui interviennent à quelqu’échelon que ce soit dans l’appareil de l’Etat, je pense particulièrement ici entre autres à l’Armée, c’est parce qu’il est impérieux de coordonner, dans une cohésion d’esprit, des dispositions interpellant en première ligne tous les maillons de cette chaîne ; conformément aux garanties dont m’assurer l’Eternel et se rapportant au devenir de notre pays, ce pays entrecoupé des fleuves. Il est évident que certaines dispositions particulières ne seront pas reprises dans cette lettre mais vous seront communiqués selon que l’Eternel nous le permettra. Cela étant, voici mon propos :Eu égard à tout ce qui se passe chez nous dans ce pays de promesses, mon cœur est très choqué et je comprends que même ceux que nous croyions être nos frères ne le sont pas. Personne ne peut venir à notre secours. Pourquoi cette haine ? On est victime de l’hospitalité comme l’ont dit les autres ?
L’Esprit de Dieu m’avait saisi et la voix me dit : « Je suis l’Eternel Dieu de toutes les nations et c’est le Zaïre qui s’est démarqué, car ce pays je l’ai choisi. Ainsi, mon serviteur, tu verras ce que l’Eternel va faire et cela te servira de signe que c’est moi l’Eternel qui t’ai appelé. » Cette voix avait continué en disant : « …mais Dieu est ce qu’il est , il voudrait vous combler de joie, une sorte de récompense à votre bravoure mais aussi à cause de votre patience de tout ce temps pendant lequel vous avez accepté d’endurer la souffrance. Toi, peuple, ne crois pas que ces gens te voulaient du bien.
Au contraire, ils voulaient seulement exploiter tes richesses… » Dieu créateur qui t’avait choisi dès avant la fondation du monde mettait le temps en réserve pour toi. Nous voici au temps fixé par le ciel. Et personne, je dis bien personne, ne saura t’empêcher de savourer ce bonheur tant attendu. Ton bonheur est celui du monde entier. Ta libération est celle qu’attend tout homme (l’humanité) quel que soit le lieu où il se trouve. Dieu prend aujourd’hui tout en mains. Que celui se fera de vouloir créer la confusion sera lui-même confondu.
La main de l’Eternel est levée, ce n’est pas une libération par un homme mais cela vient de Dieu qui entend assurer la paix et la sûreté sur toute la terre et le Zaïre doit être inscrit en lettres d’or. C’est historique ? Non, c’est prophétique car l’histoire passe mais la prophétie, elle reste ; elle demeure car elle est la parole permanente de Dieu. Jésus a dit : « le ciel et la terre passeront mais mes paroles ne passeront point ».
Le Prophete Mukungubila Mutuombo
« Réjouis-toi, mon peuple, car Dieu est descendu vers toi et a jeté son regard sur toi pour te libérer complètement. Ne sois pas rebelle mais obéis à sa voix et le bonheur sera à toi ».
Cela étant, comment un pays ami et frère pourrait envahir ce grand pays et béni et qui dans un proche avenir deviendra le lieu de refuge pour toutes nations ! C’est vraiment révoltant ! Nous avons supporté ce lourd fardeau de souffrances dans le calme avec espoir qu’un jour le soleil d’espérance allait luire sur nous car il nous l’a dit ce grand Dieu. Le Zaïre s’est montré capable de pouvoir jeûner et braquer les yeux sur le Créateur s’il pouvait nous consoler en nous apportant des solutions qui soient meilleures pour qu’enfin nos dirigeants parviennent à assumer leur responsabilité.
Et aujourd’hui c’est le Rwanda qui se porte garant de pouvoir nous supporter et renverser le Chef de ce pays au vu et au su de tous ceux qui prônent la loi, le droit sans pouvoir freiner la démence de ces rebelles Rwandais qui agissent au mépris de ladite loi. Aujourd’hui les grands sont impuissants, ils ne reconnaissent plus que ce pays qui est le nôtre est souverain ?!! Pourquoi mes compatriotes ne pourraient pas s’unir et parler le même langage ?
Quand l’ennemi envahi notre pays, plus question de se laisser distraire par les soi-disant médiateurs. Et ils ne parlaient que de l’évacuation et de l’aide humanitaire au lieu de pouvoir intervenir pour un pays souverain et déloger les envahisseurs pour les bouter dehors. Malheureusement pour nous, ils ne réclament que le corridor juste pour venir en aide aux réfugiés sans pouvoir s’occuper des Zaïrois qui avaient accueilli les réfugiés. Dès lors nous comprenons l’adage populaire : « trop bon trop couillon » ; c’est justement parce qu’il y a anguille sous roche et l’Eternel va frapper fort puisque le monde se complait à jouer dans l’hypocrisie. L’Eternel Dieu seul juste juge, saura trancher et la victoire est certaine pour nous. Le Rwanda se permet de pouvoir renverser notre Chef de l’Etat ; est-ce à dire qu’un Rwandais pourrait diriger le Zaïre ?!! Mais avec quelle capacité ?!! Dieu nous a suffisamment enseigné l’honnêteté et la loyauté et nous savons de quelle façon nous pouvons recevoir les gens. Qui va payer ce sang qui vient de couler au Sud et Nord Kivu ? Pourtant ce Dieu vient de choisir ce pays coupé par les fleuves pour relever l’homme qui était longtemps méprisé. Cet outrage sera irréparable car c’est au mépris de la révélation de Dieu que ces pays nous ont provoqués. Je tiens aujourd’hui à pouvoir informer tous nos amis, nos frères que bien que nous ayons trop de problèmes dans notre pays, vous devriez adopter l’attitude d’aider le Zaïre et non pas de nous enfoncer. Tenez, regardez les villes de l’Est : les gens en débandade, ils perdent leurs biens, leurs bien-aimés et pour quel péché ?!! Sachez que l’Eternel Dieu va répondre.

Que le Chef de l’Etat, le HCRPT et le chef du Gouvernement puisse prendre toutes les dispositions afin d’assurer l’intégrité du territoire car l’Eternel va humilier toute nation osera vouloir assujettir ce pays que l’Eternel s’est choisi pour en faire son instrument. Car le Dieu créateur est avec nous et il est pour nous ; nous n’avons rien à craindre.
Et je mets en garde : tout pays ou toute action qui osera se lever pour attaquer le Zaïre se sera humilié par l’Eternel Dieu qui a créé le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s’y trouve. Quelle que soit son importance ou sa position. Inutile de prendre en haine ce peuple que Lui-même a pointé du doigt pour en faire son messager. Si les nations ne comprennent pas encore que le Zaïre est un pays de prédilection, qu’elles attendent dans la suite des temps pour s’en convaincre. Dieu nous accordera le temps. Mais déjà l’Eternel est en action. Comme j’aimerai le dire : « le peuple est libre de refuser ce que dit le prophète mais il ne sera plus libre de refuser l’accomplissement de toutes les paroles du Prophète » Esaïe 44:24, 25,26.
Que celui que j’ai rencontré, dont le Trône est inaccessible au méchant à cause de Sa Gloire et de la Lumière éblouissante qui l’entoure, vous bénisse et qu’il daigne vous accordez la grâce de rentrer en possession de ce qui doit vous revenir de droit selon sa parole : Deutéronome 33:13-17.
L’Esclave de Dieu
Paul MUKUNGUBILA

Tuesday, February 17, 2015

JOSEPH KABILA SESE SEKO ET SES FAUCONS VEULENT-ILS LA PEAU DU DOCTEUR MUKWEGE?

C'est honteux et triste ce qui arrive au docteur Denis Mukwege.
Ce docteur a commencé à soigner les Kongolaises et les Kongolais avec ses propres maigres moyens. Aujourd'hui, il a la reconnaissance de toute la planète mais son gouvernement semble ne pas apprécier cela. En effet, il reçoit des prix un peu partout sur la planète, il est reçu par plusieurs personnalités importantes de par le monde mais le gouvernement de son pays n'a jamais était fier de ce docteur Mukwege. En ce qui concerne le docteur Mukwege et ses exploits, un silence assourdissant s'echappe du gouvernement, de la presidence et de la majorites presidentielle.
Le president Joseph Kabila qui, maintenant, aspire, ou plutôt qui rêve d'être un SESE SEKO KUKU NGBENDU WAZA BANGA
Joseph Kabila Sese Seko aka Hipolithe Kanambe
(ce n’est qu’un rêve) semble ne pas apprécier la visibilité de ce Kongolais. Le "Raïs" Congolais et ses faucons n'ont jamais décoré ce digne fils de la RDC alors que tous les Kongolais sont fiers d'avoir un concitoyen comme Mukwege Denis.
Mais qu'es ce qui explique ce comportement de Joseph Kabila Sese Seko et de ses faucons (les flatteurs, les suivistes, etc...) vis à vis de Mukwege et de son hôpital?
Chers lecteurs de CODE 243, c'est à vous de répondre........

Dans une RDC traversée par la violence, le Sud Kivu ne fait pas exception. Région outrageusement riche en minéraux, dont le coltan et la cassitérite, favorisée par un climat exceptionnellement clément et une nature luxuriante, ce pourrait être un paradis. C’est un paradis pour les trafiquants de ressources minières, pour les rebelles réfugiés dans les collines, pour les bandes armées et les enfants soldats démobilisés qui pillent, violent et tuent. C’est un cloaque, c’est un enfer pour la population. On dit et on répète aujourd’hui que le viol est une arme de guerre. Celui qui n’a pas vu un ventre de femme traversé de part en part- vagin, utérus, vessie, colon -par un pieu, ou un ventre de femme à qui on a tiré une balle dans l’anus ou le vagin, ne sait pas ce qu’est la barbarie au Kivu. Celui qui n’a pas vu un bébé de dix-huit mois, violée et complètement ouverte, laissée pour morte dans un champ, et que Mukwege essaie, comme on ferait de la dentelle, de reconstruire malgré tout, ne sait pas vraiment de quoi sont capables les hommes. Et c’est le quotidien à Panzi, où plus de deux cents nouvelles victimes entrent chaque mois, et où l’admission d’enfants violées a spectaculairement grimpé au cours du mois dernier.
Docteur Denis Mukwege avec de deux de ces patientes


En bâtissant l’hôpital de Panzi et ses nombreuses annexes (Dorcas, la Cité de la Joie, le projet Victimes de violences Sexuelles), Denis Mukwege a voulu construire une espèce de phalanstère, comme les utopistes du XIX siècle. Un endroit protégé, où on soigne les corps et les âmes, où on réinvente la bonté, l’amour, les règles morales. Un univers complètement improbable, mais où les femmes victimes de viol ou d’agressions sexuelles, retrouvent la force de vivre. Et parmi ces femmes, les enfants violés. Et parmi eux aussi, les enfants nés d’un viol, parfois gardés par leur mère, parfois abandonnés à Panzi à cause de l’exclusion et de l’ostracisme qui les attend dans leur propre communauté.

Ces dernières semaines, l’étau se referme sur le Docteur Mukwege. Les menaces d’attentat se précisent. L’un a été déjoué pendant le séjour de Veronique De Keyser, durant la premiere semaine du mois de Fevrier 2015. Les suspects ont pris la fuite mais un tueur à gage bien connu est toujours réfugié à Bukavu. Denis Mukwege ne sort plus de l’enceinte de l’hôpital où il vit avec sa famille. En plus de sa garde personnelle, assurée depuis l’attentat dont il a réchappé il y a deux ans, la Monusco assure maintenant, dans l’hôpital même, sa garde rapprochée. Le gouvernement le soupçonne de vouloir jouer un rôle politique dans son pays, voire de se préparer pour les présidentielles de 2017 ; il l’accuse de fraude fiscale, pour n’avoir pas payé de taxes alors qu’il gère un hôpital privé, et gèle ses comptes bancaires. La route qui mène de Bukavu à l’hôpital n’est plus entretenue depuis longtemps, alors que c’est une route nationale. Durant la semaine qui vient de s’écouler, trois personnes y sont mortes et un car, contenant des enfants, a versé dans un ravin. Mais surtout la terreur s’installe et nombreux sont ceux qui conseillent à Denis Mukwege de s’expatrier- comme il avait dû le faire après l’attentat qui avait coûté la vie en 2012 à son garde de corps. Le problème de l’exil, n’est pas celui d’un aveu d’échec. Mais c’est abandonner Panzi, ses femmes et ses enfants. Mukwege l’a déjà fait une fois, et ‘ses’ femmes se sont cotisées pour lui envoyer un billet d’avion. Pour le faire revenir. Et il est revenu avec des larmes dans les yeux. C’est ça aussi le miracle Panzi.

Aujourd’hui, Denis Mukwege alerte toute la communauté internationale non pas sur sa propre personne, mais sur ces femmes, ces enfants violés en toute impunité. 
Qui organise ces atrocités ?Qui les couvre ? Comment les stopper ? Quelle enquête indépendante mettre en place si le gouvernement se déclare impuissant ? Pendant le séjour d’une semaine de Veronique De Keyser, trois bébés violés ont été opérés par Denis Mukwege, avec l’équipe du professeur Cadière de l’Université Libre de Bruxelles. Elle a assisté à la troisième de ces interventions : une petite fille de 18 mois. Avant de commencer l’opération, assis entre les jambes ouvertes du bébé, Denis Mukwege a croisé les mains et s’est recueilli pendant quelques minutes. A la sortie de la salle d’opération, bouleversé, le Docteur Mukwege s'adressa à Veronique:  – Mais comment tu expliques cela ? Comment peut-on faire cela à un enfant ? Mais dans quel monde vivons-nous ? Il faut que cela s’arrête !

Il faut que cela s’arrête avant qu’on arrête Mukwege.
Il faut que cela s’arrête avant que le docteur Mukwege ne soit assassiné.

Article de Freddy Monanga pour CODE243 TV NEWS
(source: Article de Veronique De Keyser)







Sunday, February 15, 2015

MASSACRE A L'HOPITAL GENERAL DE KINSHASA

(Article d' Afrique.Kongotimes.info)

Le 21 janvier, les SMS coupés, pas d’internet, les télécommunications sont perturbées. C’est dans cet isolement totale du reste du monde qu’un massacre se déroule au sein de l’hôpital général de Kinshasa, ex Mama Yemo. « C’est une grave violation de la convention de Genève, un crime contre l’humanité », affirme un médecin.
Que s’est –il réellement passé ?
 Le 19, 20, 21 janvier, la ville de Kinshasa est en ébullition sans précédent. cette ville de plus de 12 millions d’habitants est en effervescence, la manifestation de l’opposition contre la loi électorale qui veut prolonger le mandant de Joseph Kabila par un mécanisme de « glissement » au-delà de 2016, est violemment réprimée par les forces de l’ordre. Du coup la manifestation que l’opposition voulait pacifique se transforme en une tornade ravageant tout sur son passage. La répression aveugle et incontrôlée des forces de sécurité provoque de morts et plusieurs blessés. Certains sont acheminés à l’hôpital général de Kinshasa, (Ex Mama Yemo).

Le 21 janvier vers 11 h00’, une forte délégation de l’opposition et activistes de droits de l’homme composée des honorables députés nationaux, cadres politiques et défenseurs de droits de l’homme : Martin Fayulu, Franck Diongo, Emery Okundji, Albert Fabrice Mpuela, Kovo Ingila , Albert Moleka, Jean Claude Mwalimu, Christopher Ngoy et Paul Kasonga, Mè Théo Mulombock. Cette forte délégation se rend à l’hôpital général, visiter les blessés de la démocratie, comptabiliser le nombre de martirs de la démocratie à la morgue.

Avec l’argent cotisé par les membres de l’opposition et la diaspora congolaise, cette délégation avait apporté de la nourriture, draps et payé quelques frais d’hospitalisation de ces martyrs et blessés de la démocratie abandonnés par le gouvernement congolais.

Aussitôt Informé de la présence de la délégation de l’opposition à l’hôpital général, le pouvoir de Kinshasa va dépêcher un camion rempli de militaires de la garde républicaine en renfort aux autres éléments en tenue civile qui s’y trouvaient déjà avec mission de soutirer les corps des victimes, effacer les traces, intimider les blessés et autres.

Soudain, coupure d’électricité, tirs à balle réelle à bout portant, c’est l’horreur ! « Je n’ai jamais vu un tel degré de l’inhumanisme sauvage », affirme un défenseur de droits de l’homme présent dans le lieu du drame. Selon les informations que nous détenons et transmises à la Monusco, ce massacre a fait 11 victimes dont un médecin, deux garde-malades tombés surplace au pavillon où se trouvaient les blessés de la répression barbare. Le rapport détaillé de ces violations massives pour une enquête sérieuse était faite par les défenseurs de droits de l’homme sous la conduite de Christopher Ngoy qui sera enlevé la nuit du drame par les éléments de service de sécurité. Le massacre de l’hôpital général de référence de Kinshasa (Ex Mama Yemo) serait l’une des raisons de l’acharnement de Christopher Ngoy et d’autres qui en savent trop sur cette escalade sauvage de la Kabilie.

L'EQUATEUR: UNE PROVINCE ABANDONEE A ELLE MEME

Article de Freddy Monanga

La province de l'Equateur en RDC est la province la plus pauvre en terme de qualité de vie des habitants.
Et pourtant dans la majorité présidentielle il y a plusieurs cadres qui sont ressortissants de cette province. Il y a des ministres, des conseillers à la présidence, etc., mais le quotidien des habitants de la province est la plus catastrophique de la république. Des centaines d'hommes et de femmes ressortissants de cette province se font des coups tordus, des coups bas pour plaire à celui que les Kinois appellent "alias Kabila Joseph". Et pourtant le « Raïs » Congolais et ses faucons ne portent pas les Equatoriens dans leurs cœurs. Il fut même un moment, pendant des mois, ou toutes les embarcations en provenance de Mbandaka pour Kinshasa étaient stoppées à la frontière Est de Kin sur le fleuve Congo, tous les jeunes hommes débarqués et massacres puis jetés dans le fleuve attachés chacun à une grosse pierre.
La ville de Mbandaka, n'a rien d'une capitale de province.
On se pose la question : Mais où est la révolution de la modernité des cinq chantiers dans cette ville capitale de la province de l’Equateur?
On a l'impression d'être dans un grand village du Moyen-Age. Mais pendant ce temps, les Equatoriens de la majorité présidentielle se battent à coup de poisons, trahisons et délations pour des billets couleur pondu ou pour un poste de travail. Le clientélisme a élu domicile dans la province du Marechal Mobutu alors que le cœur du pouvoir de Kinshasa a en horreur les Equatoriens.
Et pourtant, cette province a tout pour être une province où les habitants ont une qualité de vie exceptionnelle.
Dans toute la province, les écoles, les centres sanitaires, les cliniques et polycliniques, les prisons, les bâtiments administratifs, sont dans un état de délabrement très avance.
Equatorien, que faites-vous pour votre province? Que faites-vous dans votre province. C'est triste et malheureux. Ne serait-il pas préférable que vous soyez unis autour de la VERITE et non du Mensonge

Monday, February 9, 2015

QUELQUES VERITES CACHEES DE L'HISTOIRE DES NOIRS EN AFRIQUE ET AILLEURS

Article de Freddy Monanga
Hérodote est considéré comme le père de l’histoire (l’histoire comme une science), il rapporta plusieurs faits historiques dans une série de livres intitulés l’Histoire d’Hérodote. En 454 av. J-C (Avant Jésus-Christ), il décide de faire œuvre d'historien et il se lança dans l’aventure de visiter plusieurs contrées mal connues par ses paires. Il a eu à visiter l’Assyrie, la Grèce continentale, la Perse, Médie, l'Égypte, le Pont-Euxin et la Grande-Grèce. Il meurt vers 420 av. J-C, après avoir consacré les vingt dernières années de sa vie à la rédaction de ses histoires sur ses voyages.
Herodote
Hérodote fut très curieux et voulait tout savoir sur les différents peuples mal connus. Ce père de l’histoire et du reportage demeure une source très importante pour l’histoire des Africains sur leur continent. Le deuxième livre de sa série de reportages historiques est consacré à l’Egypte ancienne. En Égypte, il déchiffre les hiéroglyphes, il se passionne pour les mœurs et coutumes des Egyptiens, il les interroge, il consulte les archives des temples, il visite les monuments.

Lisons Hérodote Dans Histoire d’Hérodote Livre II, la traduction nouvelle de P. Giguet dans sa quatrième édition publiée chez Paris librairie Hachette et Cie, édition de l’année 1875.

A la page 86, section IV Hérodote rapporte ceci :
Quant aux affaires humaines, ils sont unanimes sur les points suivants : de tous les hommes, les Égyptiens, les premiers, ont réglé l’année, répartissant sont cour en douze parties ; ils ont, disent-ils, fait cette découvertes en observant les astres ; plus sage, selon moi, que les grecs qui, pour conserver l’ordre des saisons, ajoutent tous les trois ans un mois intercalaire, tandis que les Egyptiens douze mois de trente jours, ajoute tout les ans cinq jours complémentaires, et que pour eux les saison suivent un cercle immuable.

A la Page 102 section XLIII Hérodote nous rapporte ceci :
A propos d’Hercule, j’ai oui dire qu’il était l’un des douze dieux ; quant a l’autre Hercule que connaissent les grecs, je n’ai pu rien apprendre de lui en Egypte. J’ai d’ailleurs plus d’une preuve que les Egyptiens n’ont point emprunté ce nom aux Grecs, mais plutôt les Grecs aux Egyptiens, et notamment ceux qui ont ainsi appelé le fils d’Amphitryon.

A la Page 103 section XLV Hérodote rapporte :
Mais les Grecs en parle beaucoup et se divertissent une manière inconsidérée. Ainsi cette fable qu’il rapporte d’Hercules est un peu trop naïve : a son arrivée en Egypte, disent-ils, les Egyptiens, l’ayant couronné de feuillages, le conduisirent solennellement dans le dessein de le sacrifier a Jupiter ; cependant il garda silence, mais prés de l’autel, quand ils s’apprêtaient à l’immoler, il déploya sa force et les tua tous. Ceux qui font de tel récit me semblent ignorer entièrement le naturel et les coutumes des Egyptiens. En effet, il ne leur est point permis d’immoler des animaux, sauf des porcs, des oies, des brebis,  et des bœufs ou des veaux reconnus purs ; comment donc sacrifieraient-ils des humains ? De plus cet Hercules était seul ; c’était, selon eux, un simple mortel : comment est-il vraisemblable qu’il ait fait périr plusieurs myriades d’hommes ? Que les dieux et les héros ne s’offensent pas de ce que nous venons de dire à ce sujet.

Ainsi à la page 107, section LVII Hérodote nous rapporte ceci :
(…) car comment une colombe aurait elle pu prendre une voix humaine ? La couleur noire que l’on donne à la colombe indique que la femme devait être Egyptienne.

A la page 115, section LXXXIV, Hérodote rapporte ceci :
La médecine en Egypte est partagée : chaque médecins s’occupe d’une espèce de maladie et non de plusieurs. Les médecins, en tout lieux, foisonnent, les uns pour les yeux, d’autres pour la tète, d’autres pour les dents, d’autres pour le ventre, d’autres pour les maux internes.

De la page 122 à 123, section CIV Hérodote rapporte ceci :
Les habitants de la Colchide sont évidemment Egyptien ; je m’étais déjà  formé cette opinion avant de l’entendre dire par autrui ; comme j’avais ce sujet a cœur, j’ai interrogé les deux peuples. Les Colchidiens se souvenaient plus des Egyptiens que ceux-ci des premiers. Cependant les Egyptiens disent que, dans leur  opinion, les Colchidiens faisaient partis de l’armée de Sésostris. Je fondais cette conjecture sur ce que ces derniers sont noirs et ont les cheveux crépus ; mais cette circonstance n’était pas une preuve décisive, puis que d’autres peuple sont de même ; je la fortifiai donc de cette autre : seuls de tous les hommes, les Colchidiens, les Egyptiens et les Ethiopiens ont des l’origine étaient circoncis. Les phéniciens et les syriens de la Palestine eux même avouent que ce sont les Egyptiens qui leur ont appris cette pratique, tandis que les syriens du Thermodon et du fleuve Parthenie, et leurs voisins les macrons, disent qu’ils la tiennent depuis peu des Colchidiens. Les peuples que je viens d’énumérer sont de tous les hommes les seuls qui pratiquent la circoncision, et il est visible qu’en cela ils imitent les Égyptiens.

A la lecture du reportage historique d’Hérodote sur son séjour en Egypte, plus précisément l’Egypte ancienne c'est-à-dire l’Egypte des Pharaons, des papyrus, des hiéroglyphes et des pyramides, nous arrivons à la conclusion évidente que ces Egyptiens la étaient des noirs. La science n’avait aucun secret pour ces noirs et ils étaient très avancé sur plusieurs peuples de la terre dans presque tous les domaines. Ils sont à la base des sciences comme les mathématiques, la médecine dite moderne, de la géométrie, de l’astronomie, de la physique, de la chimie, de l'agronomie et tant d’autres. Ces noirs ont formé tous les savants Grecs, Romains, Arabes et autres à qui l’ont attribuent faussement la paternité de plusieurs théories, théorèmes et découvertes scientifiques.



En 1776, l’abbé Liévin-Bonaventure Proyart envoie au Comte de Provence, le frère cadet du roi de France Louis XVI, un reportage des royaumes d’Afriques centrales. Ce livre reportage porte le nom d’ « Histoire de Loango, Kakongo et autres royaumes d’Afriques ». Il a vécu longtemps parmi plusieurs peuples d’Afrique.

Voici ce qui est écrit dans ce livre au premier chapitre :

De la page 70 à la page 72, l’abbé Liévin-Bonaventure Proyart rapporte ceci des Kongolais :

Ces peuples sont d’une grande douceur. Les contestations sont rares parmi eux, et ils n’en viennent presque jamais aux mains. S’ils ne peuvent pas s’accorder, ils vont trouver leur juge, qui les réconcilie dans un instant. Ce que dit un historien (auteur de l’histoire Générale de l’Asie, l’Afrique et de l’Amérique – tome12) que les habitants de Loango immolent des esclaves aux mânes de leurs Rois, n’a pas le moindre fondement. Ils n’ont point même d’idée de ces sacrifices abominables.

Les negres commerçants qui habitent les cotes sont pour la plupart défiants et intéressés jusqu'à la friponnerie. Ayant pour principe de rendre tous les blancs responsable les uns pour les autres ; ils ne se feraient pas de scrupule de tromper un Français, s’ils le pouvaient, parce que dix ans auparavant ils auraient été trompé eux-mêmes pas un Anglais. Mais la rapine et la duplicité ne sont nullement du caractère de la nation. On remarque au contraire, que ceux qui habitent l’intérieure des terres, joignent à beaucoup de droiture et de franchise, un désintéressement qu’on pourrait appeler excessif. Ils pratiquent à la lettre le conseil de l’évangile, de ne point s’inquiéter du lendemain. Ils ne pensent pas même que la nourriture et le vêtement puissent jamais leur manquer. Toujours ils sont prêts à partager le peu qu’ils ont avec ceux qu’ils savent être dans le besoin. S’ils ont été heureux à la chasse ou la pêche, et qu’ils se soient procuré quelque pièce rare, ils courent aussitôt en donner avis à leurs amis et leurs voisins, en leur portant leur part. Ils aimeraient mieux s’en priver eux-mêmes que de ne pas leur donner cette marque d’amitié. Le reproche d’avarice est un des plus sensibles qu’on puisse faire à quelqu’un.
A la page 73, l’abbé Liévin-Bonaventure Proyart rapporte ceci :
…) Ils sont humains et obligeants même envers les inconnus, et ceux dont ils n’ont rien à espérer.
(…) Un voyageur qui passe par un village à l’heure du repas, entre, sans façon, dans la première case, et il y est le bien venu. Le maitre du logis le régale de son mieux, et après qu’il s’est reposé, il le conduit dans son chemins
A la page 74 a la page 76, l’abbé Liévin-Bonaventure Proyart rapporte ceci :
(…) Pendant la dernière guerre que nous eûmes avec l’Angleterre, un navire Français ayant échoué sur la cote de Loango, deux ou trois matelots se sauvèrent a la nage, et se retirent dans un village nomme Loubou. Les habitants de l’endroit les reçurent avec bonté, et pourvurent généreusement à leurs besoins. Ils les logèrent, les nourrirent, et les habillèrent pendant plusieurs années, sans exiger d’eux aucun travail : toute leur occupation était d’aller se promener le long de la cote ; et lorsqu’ils découvraient un vaisseau, ils en avertissaient les nègres, qui les faisaient monter dans une pirogue pour aller le reconnaitre. S’il était Anglais, ils retournèrent avec précipitation, dans la crainte de laisser tomber leurs hôtes entre les mains de leurs ennemis. Ils  vécurent ainsi avec ces matelots jusqu'à ce qu’ils eurent trouvé l’occasion favorable de repasser en France ; sans jamais leur témoigner qu’ils leur fussent à chargé par un si long séjour. C’est dans le village même ou la chose s’est passé, que les missionnaires l’ont apprise.
En mil sept cent soixante sept, le préfet da la mission reçut la visite d’un officier de vaisseau, qui lui dit : qu’ayant appris qu’il était arrive des prêtres Français à Loango, il s’y était rendu pour se confesser, et rendre grâce a Dieu avec eux de ce qu’il avait échappé au plus grand danger. Il leur raconta qu’il était embarque sur un navire de Saint-Malo : que le capitaine voyant une ile flottante qui passait près de son bord, l’avait envoyé sur un canot avec quatre matelots, pour y couper de l’herbe ; mais qu’ayant été entraines par la violence des courants, ils avaient lutte contre les flots pendant quarrtes jours et quatres nuits, sans pouvoir regagner leur vaisseau : qu’enfin, le cinquième jour, le vent avait pousse le canot sur le rivage. Des quatres matelots qui accompagnaient l’Officier, deux étaient morts de faim et de fatigue, un troisième avait expiré sur la cote, en sortant du canot. L’Officier et le matelot qui restaient, se trainèrent, comme ils purent, jusqu’au premier village. Les habitants s’empressèrent de les soulager, et leur firent toute sorte de bons traitements. Quand ils se disposèrent a quitter l’endroit, après y avoir fait un fort long séjour, on les assura qu’ils pouvaient y rester encore autant de temps qu’ils voudraient, sans craindre d’être a charge a personne. Ils ne prirent pas de provisions de bouche en partant pour Loango ; on leur en offrit libéralement dans tous
les villages ou ils s’arrêtèrent le long de la route, jusqu’au terme de leur voyage.

De la page 79 a la page 81, l’abbé Liévin-Bonaventure Proyart rapporte ceci :
De prétendus voyageurs se jouant de la bonne foi publique, n’ont pas craint d’avancer que les prostituions, les adultères, et les plus monstrueux excès de la débauche, y sont passées en usage, au point que les maris eux-mêmes favorisent le libertinage de leurs femmes, et que les obsèques des morts s’y célèbrent par des abominations et des infamies. Un écrivain mercenaire respecte peu la vérité, quand il trouve son compte à la déguiser ; et c’est ici le cas : il est sur de plaire par des récits licencieux, a cette classe nombreuse de lecteurs frivoles ou libertins, qui saisissent avec avidité tout ce qui semble anoblir leurs faiblesses, ou étendre sur un plus grand nombre l’empire des passions qui les maitrisent. Et cependant, c’est d’après ces relations calomnieuses qu’on bâtit des systèmes, et qu’on nous dit gravement, que la religion Chrétienne ne saurait être la religion de tous les climats : que la chasteté qu’elle prescrit forme un obstacle invincible à son établissement dans les pays méridionaux, et sous la zone torride. Mais ceux qui du fond de leur cabinet calculent, ainsi a leur manière, l’influence des climats sur les mœurs, et qui ne font point difficultés d’assigner, le compas a la main, les régions au delà desquelles ne sauraient s’étendre le culte et la religion du vrai Dieu : ces prétendus Sages, dis-je, devraient faire attention qu’ils se constituent par-là les accusateurs et les juges de la Divinité : car supposé qu’ils ne soient point de ces insensés qui regarde cet univers comme la production d’un agent aveugle et un jeu du hasard, je voudrais pour les confondre, que leur dire : « expliquez nous comment il aurait pu arriver que celui qui a crée les temps et forme les saisons, qui a attribué les climats, et présidé a l’économie générale de l’univers, se fut si étrangement mécompté a son préjudice, en offrant pour demeure a une grande partie de ses créatures des régions ou son nom ne put être que méconnu et sa loi méprisée » ?

A la page 103, l’abbé Liévin-Bonaventure Proyart rapporte ceci :
Comme la pluspart de nos maladies sont causées par les excès de table, les negres qui mènent toujours une vie également sobre et frugale, sont rarement malade, et un grand nombre parmi eux parviennent à une extrême vieillesse. Le roi actuel de Kakongo, nommé Poukouta, est âgé de cent vingt-six ans. Il s’est toujours bien porté, et ce ne fut qu’au mois de Mars de l’année, qu’il se ressentit pour la première fois des infirmités de la vieillesse, et que la vue et ses jambes commencèrent a s’affaiblir ; mais il a encore toute sa tête, et il emploie habituellement cinq ou six heures par jour a rendre la justice a ses sujets. La princesse Ma-mteva, sa tante, est à peu prêt du même âge, et se porte également bien.
Il est assez surprenant que nos vaisseaux fréquentent habituellement les cotes de Loango, Kakongo, et autres royaumes d’Afrique, que nos négociants même y aient des comptoirs ; et que nous ignorions absolument ce qui se passe dans l’intérieure de ces états, et quels sont les peuples qui les habitent. On aborde chez-eux ; on leur donne des marchandises d’Europe : on charge leurs esclaves et on revient. Personne jusqu’ici n’avait encore pénétré dans le pays en observateur ; personne du moins ne s’y était fixée assez de temps pour qu’on pu compter sur ses observations. On juge de ces différents peuples par ceux qui habitent le long des cotes ; et parce que ceux-ci, souvent trompes par les Européens, ne se font point scrupule de les tromper a leur tour, on accuse toute la nation de duplicité. Ils vendent des hommes ; on les accuse d’inhumanité. Est-il beaucoup plus humain de les acheter que de les vendre ? Mais on ne fait point attention que ces hommes qu’ils vendent sont des ennemis pris en guerre et auxquels souvent ils auraient eu droit d’ôter la vie. On croit que le père vend son fils, le prince ses sujets ; il n’y a que celui qui a vécu parmi eux qui sache qu’il n’est pas même permis au maitre de vendre son esclave s’il est née dans le royaume, à moins qu’il ne se soit attiré cette peine par certains crimes spécifiés dans la loi. On ne s’en tient point à ces imputations : on prétend que ces peuples sont aussi dissolus dans leurs mœurs que perfides et inhumains dans le commerce de la vie ; et, sans qu’ils aient été entendus sur des chefs si graves, on leur fait le procès : les conjectures et les ouï-dire, quelques relations infidèles sont les preuves et les témoins. Ils sont en même temps accusés, jugés, condamnés. Des gens qui n’ont jamais considéré leur pays que du haut de l’observatoire les excommunient, la carte à la main, et déclarent leurs climats déchus de toute espérance à la religion du vrai Dieu. A une sentence si rigoureuse, fondée sur une accusation si frivole, reconnaîtrait t-on le siècle qui ne prêche que raison et humanités ?

DIEUMERCI KANDA: BAVURE POLICIERE OU SUICIDE?


Le mercredi 4 Février, à 7h35, monsieur Dieumerci Kanda se présente au commissariat de la rue Démosthène à Anderlecht, une commune de la ville de Bruxelles pour déposer et porter plainte : sa carte d’identité lui a été volée. La police affirme que le comportement et l’attitude de monsieur Kanda Dieumerci ne permettait pas de prendre sa déclaration. Il était en état "d'ébriété avancée" alors il a été décidé de le priver de sa liberté, administrativement, pour ivresse publique et de le placer en cellule de dégrisement. Il est 8h00 passé de quelques minutes.
Monsieur Dieumerci Kanda

Selon la police, vers 11h30, des policiers constatent qu’il s’était « pendu au moyen de son T-shirt ». Il a été transféré à l’hôpital dans un état critique. Le samedi 7 Février, Dieumerci Kanda rend l’âme à l’hôpital. Son état ne s’était jamais amélioré.

Vous devez savoir une chose, Chers lecteurs et lectrices de CODE243, que dans ce commissariat, toutes les cellules sont équipées de caméras de surveillance. Ces caméras de surveillance ont été placées pour surveiller les personnes incarcérées dans le but d’éviter justement des tragédies comme celle dont il est question.
Le commissariat de la zone de police 5341 sur la rue Demosthene 36 a 1070 (Anderlecht) Bruxelles

Ainsi donc, le parquet de Bruxelles a ouvert deux enquêtes. La première sur les circonstances de la pendaison. La seconde est une enquête interne. Elle devra lever les zones d’ombre de cette matinée au commissariat Démosthène : qu’est-ce qui a amené un plaignant à se retrouver en cellule ? Y a-t-il eu, ou non, défaut de surveillance pendant ces 4 heures au commissariat ?

Mais selon les proches de monsieur Dieumerci Kanda, il aurait été victime d’une bavure raciste policière dans ce commissariat. Il serait décédé au sein du commissariat à cause des coups qui lui auraient été infligés. Dieumerci n’était pas de tendance suicidaire et ne souffrait d’aucuns problèmes psychologiques ni neuropsychologiques, toujours selon ses proches. Pourquoi se suiciderait-il ?
Monsieur Dieumerci Kanda


Il vrai que la version de la police, du suicide avec son t-shirt tout en étant dans un état "d'ébriété avancée”, semble un peu tiré par les cheveux. Comme il y a des caméras dans toutes les cellules de ce commissariat, il suffit de visionner la vidéo de la cellule dans laquelle était incarcéré monsieur Kanda pour savoir exactement ce qui lui est arrivé dans cette cellule.

Dans les réseaux sociaux, la nouvelle de son décès a fait le tour du monde. Plusieurs africains, et plus précisément les Congolais de Kinshasa d’où monsieur Kanda était originaire, conseillent à la famille de Dieumerci de demander une contre autopsie avec des médecins Congolais. Qu’un consortium d’avocats Congolais puisse prendre cette affaire en charge pour que, s’il y a crime, les coupables soient sévèrement punis selon la loi.
Il s’agit peut-être d’un cas de bavure-raciste policière comme il y en a des dizaines chaque année en Belgique.

P.S. La rédaction de CODE243 présent ses sincères condoléances aux bien aimés de Dieumerci Kanda.

Article de Freddy Monanga pour CODE 243 TV NEWS

Sunday, February 8, 2015

JOSEPH KABILA aka HYPOLITHE KANAMBERE DECIDE L'ELIMINATION PHYSIQUE DE VITAL KAMERHE

Le 1er Fevrier 2015, le journaliste Abraham Luakabuanga de CODE243 NEWS TV, recoit une information tres sensible de la part d'une source proche du pouvoir de Kinshasa: Joseph Kabila aka Hypolithe Kanambere a decide de l'eliminatiuon physique de monsieur Vital Kamerhe.



MUKUNGUBILA DECLARE QUE JOSEPH KABILA EST UN IMPOSTEUR ET N'EST PAS DE LA FAMILLE BIOLOGIQUE DE LAURENT DESIRE KABILA


C'etait en Mai 2014, la conference de presse donnee par le Prophete Joseph Mukungubila Mutombo a Johannesburg en Afrique du Sud.  



Wednesday, February 4, 2015

LE PROPHETE MUKUNGUBILA PLEURE LES CONGOLAIS MASSACRES ET EN APPEL A LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE.

A Kinshasa, Bukavu, Goma et Mbanadaka, pendant une semaine, début janvier 2015, de violentes manifestations contre le projet de loi électorale ont été réprimées par les forces de sécurité congolaises. Selon la FIDH, au moins une 100taine de personnes ont été tuées. 


http://manuscritdepot.com/a.freddy-monanga.1.htm