La tragédie Kongolaise a commencé durant l’automne de l’année 1996, mais c’est le RCD qui a réellement commencé les massacres à grande échelle des Kongolais le 4 Aout 1998 ; le Rassemblement des Congolais pour la Démocratie (RCD) d’Azarias Ruberwa Manywa.
Ainsi donc, le 4 Aout 1998, le Burundi, le Rwanda et l’Uganda (la troika des grands lacs) commencent à envahir et à occuper la RDC. Cela se fait par des massacres massifs des populations Kongolaises, des razzias, des viols, des mutilations des organes génitaux des femmes Kongolaises et des déportations des populations Kongolaises. Après avoir massacré des villages entiers en RDC, cette troïka repeuple ces villages avec des populations Rwandophones, principalement des paysans venus du Rwanda (Hutus et/ou Tutsis). Dans les centres semi-urbains et urbains, la meme troika aidée par des traitres Kongolais massacrent les intellectuels, opèrent des assassinats ciblés, assassine les chefs coutumiers, les chefs religieux, les responsables administratifs et brulent, détruisent les bâtiments du gouvernement, les édifices religieux dans le but de détruire les archives des populations locales.
Il y a eu les massacres de Kasika I et II, Makobola, Butembo, Fizi, Kabare, Masisi, Mwenga, Rutshuru, Bunyakiri, Uvira, Busawa, Ruzizi, Katogota, Kilambo, Kamanyola, Lubarika, Ngenge, Cidaho, Kalehe, Luberezi, Shabunda, Lulingu, Lusenda-Lubumba.
Cette violation de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de la RDC via les RCD, CNDP, M23, FDLR et consorts, est donc accompagnée de massacres, de meurtres, des assassinats, dont les méthodes, la similitude et la cruauté ainsi que les techniques utilisées nous ont convaincu du caractère prémédité et planifié de ces barbaries. Nous sommes en présence d’un GENOCIDE.
Et pendant ce temps, il règne une grande irresponsabilité à la tête de l’Etat Congolais dans la gestion du pays et dans la gestion de l’armée. Durant toutes ces années de post-libération du Zaïre-RDC par les AFDLiens et PPRDiens, aux yeux et à la barbe des gouvernants, des éléments Rwandais et Ugandais s’infiltrent ou plutôt intègrent l’armée Kongolaise et les renseignements militaires à tous les niveaux (officiers, sous-officiers et hommes de troupe) via les brassages, les mixages, les intégrations, les opérations dites conjointes entre les FARDC et l’armée Rwandaise pour traquer les FDLR dans les Kivu, etc.
Et comme conséquence, l’armée de la RDC est incapable de protéger les Kongolais. Pour dire vrai, la RDC n’a plus d’armée mais plutôt un conglomérat d’hommes et de femmes armés.
Il n’y a jamais eu de paix dans l’est de la RDC comme aiment bien le prétendre tout les PPRDiens, les Kabiliens, les collabos et consorts. La seule paix que leur Rais a eu à apporter, c’est la paix des seigneurs de guerre. Car sur le terrain c'est-à-dire dans le Nord et Sud Kivu, dans le Maniema, dans l’Ituri, dans le Haut-Uélé , le Bas-Uélé et dans le Tanganyika, les Kongolais n’ont jamais connu de paix depuis 1996 : Viols des femmes, mutilations des femmes et filles, humiliations des femmes, assassinats des leaders, des commerçants, des chefs coutumiers et des intellectuels, enlèvement des enfants et leur intégrations dans les milices armées Ugandaises, Rwandaises ou Burundaises.
Il suffit de se brancher sur une radio Kongolaise comme la radio Okapi pour avoir chaque jour des nouvelles alarmantes de l’est de la RDC.
Mais en face, nous avions et nous avons un gouvernement Congolais amorphe, un président de la république tout puissant à l’intérieure en terrorisant les Kongolais qui ne pensent pas comme lui mais incapable de protéger ces concitoyens. Les gouvernants-collabos du Congo Démocratique présentent à la face du monde un pays de poltrons, de pleurnicheurs, de craintifs et de pétochards, incapable de se faire entendre dans le concert des nations. Et pourtant, le monde entier attend la RDC dans son rôle prophétique de moteur de l’Afrique.
Dans un pays géré par des hommes et des femmes responsables-sérieux, un homme comme Amisi Kumba dit « Tango Fort » ne peut pas être le chef d’état major de la force terrestre, ni même un général dans l’armée. Quel honte pour les Kongolais ! Durant cette année 2012, ce chef d’état major de la force terrestre Congolaise s’est déplacé plusieurs fois dans le Nord et Sud Kivu, mais pour quels résultats ?
Et pourtant, les Kongolais ont encore en mémoire la raclée que le feu Général Budja Mabe Nkumu Embanze Félix et ses hommes avaient eu à infliger à Nkundabatware Mihigo, Mutebutsi et leurs hommes en 2004. Ces derniers, Rwandophones et Rwandais confirmés, avaient quitté Bukavu en débandade et dans une confusion générale abandonnant armes, munitions et vêtements.
Apres cette victoire, les Kongolais se rappellent aussi le sort qui a été réservé à ce vaillant guerrier Budja descendent des vaillants guerriers Yambata du territoire de Bumba.
Cela sentait et sent encore l’irresponsabilité, pour ne pas dire la trahison, au sommet de l’état du Congo Démocratique.
Aujourd’hui, le pouvoir Congolais veut repousser les Rwandophones de M23 :
1) Le Rassemblement des Congolais pour la Démocratie (RCD) d’Azarias Ruberwa Manywa, de Lambert Mende Omalanga, de Tryphon Kin-Kiey Mulumba, d’Ernest Wamba dia Wamba, d’Emile Ilunga, d’Adolphe Onusumba Yemba, d’Eugene Serufuli, du général Laurent Nkundabatware, de Lunda Bululu, de Roger Lumbala, de Mbusa Nyamwisi, de Bizima Kahara, du colonel Jules Mutebutsi, de Jean-Pierre Lola Kisanga, Moïse Nyarugabo Muhizi, Christian Kabul Mwando Nsimba, etc.
http://manuscritdepot.com/a.freddy-monanga.1.htm
En effet, le 4 Aout 1998, 72 officiers Kongolais et plusieurs centaines de militaires Kongolais qui n’avaient pas voulu se rallier à la rébellion du RCD furent massacrés à l’aéroport de Kavumu (Bukavu) sur la supervision d’un officier de l’armée Rwandaise dont le nom connu est Ruvusha « code double Six Charly ».
Ainsi donc, le 4 Aout 1998, le Burundi, le Rwanda et l’Uganda (la troika des grands lacs) commencent à envahir et à occuper la RDC. Cela se fait par des massacres massifs des populations Kongolaises, des razzias, des viols, des mutilations des organes génitaux des femmes Kongolaises et des déportations des populations Kongolaises. Après avoir massacré des villages entiers en RDC, cette troïka repeuple ces villages avec des populations Rwandophones, principalement des paysans venus du Rwanda (Hutus et/ou Tutsis). Dans les centres semi-urbains et urbains, la meme troika aidée par des traitres Kongolais massacrent les intellectuels, opèrent des assassinats ciblés, assassine les chefs coutumiers, les chefs religieux, les responsables administratifs et brulent, détruisent les bâtiments du gouvernement, les édifices religieux dans le but de détruire les archives des populations locales.
Il y a eu les massacres de Kasika I et II, Makobola, Butembo, Fizi, Kabare, Masisi, Mwenga, Rutshuru, Bunyakiri, Uvira, Busawa, Ruzizi, Katogota, Kilambo, Kamanyola, Lubarika, Ngenge, Cidaho, Kalehe, Luberezi, Shabunda, Lulingu, Lusenda-Lubumba.
Et comme conséquence, l’armée de la RDC est incapable de protéger les Kongolais. Pour dire vrai, la RDC n’a plus d’armée mais plutôt un conglomérat d’hommes et de femmes armés.
Il suffit de se brancher sur une radio Kongolaise comme la radio Okapi pour avoir chaque jour des nouvelles alarmantes de l’est de la RDC.
Dans un pays géré par des hommes et des femmes responsables-sérieux, un homme comme Amisi Kumba dit « Tango Fort » ne peut pas être le chef d’état major de la force terrestre, ni même un général dans l’armée. Quel honte pour les Kongolais ! Durant cette année 2012, ce chef d’état major de la force terrestre Congolaise s’est déplacé plusieurs fois dans le Nord et Sud Kivu, mais pour quels résultats ?
Apres cette victoire, les Kongolais se rappellent aussi le sort qui a été réservé à ce vaillant guerrier Budja descendent des vaillants guerriers Yambata du territoire de Bumba.
Cela sentait et sent encore l’irresponsabilité, pour ne pas dire la trahison, au sommet de l’état du Congo Démocratique.
- Avec des officiers militaires comme Amisi Kumba dit « Tango fort » et consorts,
- Avec une armée infiltrée de Rwandophones,
- Avec un gouvernement de jouisseurs (seul les avantages et les privilèges du pouvoir les intéressent. Ils ne reconnaissent pas qu’ils ont des obligations, des devoirs et des responsabilités)
Des milliers de Kongolais sont mort depuis que le M23, l’ex CNDP, a décidé de prendre les armes sous le parrainage du Rwanda et de l'Uganda.
Le CNDP est cette milice armée du général Nkundabatware qui s’était métamorphosée en parti politique : Le Congre National pour la Défense du Peuple. Le CNDP avait alors signé une alliance politique avec le PPRD qui est le parti de l’actuel chef de l’état Congolais. En dépit des protestations et avertissements des Kongolais patriotes, le tout puissant président du Congo des Démocrates et ses collaborateurs avaient décidé autrement ; Voila encore là un acte irresponsable.
Tous ce qui arrive aujourd’hui en RDC auraient pu être évité si le pouvoir actuel écouté la pluralité des voix Kongolaises, au lieu de faire de la gestion du pays une affaire privée pour le PPRD et alliés. En lieu et place de contester l'opposition pour le plaisir contester ils auraient du écouter les avertissements et les recommandations.
Normalement, Joseph Kabila Kabange aka Hyppolite Kanambe doit démissionner pour haute trahison ainsi que toute sa majorité présidentielle.
Rappel:
1) Le Rassemblement des Congolais pour la Démocratie (RCD) d’Azarias Ruberwa Manywa, de Lambert Mende Omalanga, de Tryphon Kin-Kiey Mulumba, d’Ernest Wamba dia Wamba, d’Emile Ilunga, d’Adolphe Onusumba Yemba, d’Eugene Serufuli, du général Laurent Nkundabatware, de Lunda Bululu, de Roger Lumbala, de Mbusa Nyamwisi, de Bizima Kahara, du colonel Jules Mutebutsi, de Jean-Pierre Lola Kisanga, Moïse Nyarugabo Muhizi, Christian Kabul Mwando Nsimba, etc.
2) En 2007, alors que le Chef d’Etat-major général des FARDC, le Lieutenant-Général Kisempia ainsi que le ministre de l’Intérieur, le Général-major Dénis Kalume rejetaient toute éventualité de prendre langue avec Nkundabatware, les observateurs ont appris avec surprise que le général John Numbi négociait avec le général déchu pour ‘‘mixer’’ ses troupes aux FARDC, ce qui supposait que les éléments de Nkunda devront lui rester fidèles et ne pouvaient s’éloigner de leur arrière-base, le Rwanda. Cet accord a donné ce que l’on craignait. De qui avait-il reçu ces ordres alors que les FARDC achevaient de mettre en place, fin janvier, un dispositif pour en finir avec lui ?
3) Nkundabatware a dit : « Le peuple congolais a un sérieux problème à résoudre car son propre président, élu au suffrage universel direct par plus de 58 % (du moins d’après la version officielle) des voix [en octobre 2006] – je cite Joseph Kabila – est non seulement d’origine tutsi, comme moi, mais est aussi un ancien soldat du FPR, comme moi ». Et Nkunda d’ajouter : « Cherchez l’erreur ! »
Freddy Monanga de Code 243
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