Article de FREMONSA
Un exemple: l’Afrique n’a pas besoin de l’énergie nucléaire qui produit beaucoup de déchets toxiques. Elle a à sa portée toutes les sortes d’énergie renouvelables dont la production ne détruit ni n’endommage notre milieu vital : la Nature. Il suffit de le vouloir puis d’y travailler.
Les modèles de « développement » et d’industrialisation dit « occidental » sont essentiellement basés sur l’argent. L’argent est la raison de vivre de tous ceux qui y participent.
Voici ce qu’elle écrit a la fin de l'introduction de son ouvrage : La machine infernale, utilitariste et violente, de l’économisme qui réduit tout à l’état de marchandise - dont l’Occident néolibéral a fait son habit de lumières - heurte l’âme des sociétés de l’Afrique subsaharienne. Parce qu’elles travaillent à contre courant de l’ordre capitaliste et de ses principes directeurs, les valeurs qui traversent le continent noir pourraient être le levier d’une remise en cause de la mondialisation libérale. Cette remise en cause profiterait d’abord à l’Afrique elle-même - résoudre ses maux en plongeant dans son propre patrimoine culturel - tout en ouvrant aussi des perspectives pour un autre monde, plus juste et plus humain dont tous, au Nord comme au Sud, pourront bénéficier.
Si les sociétés africaines et leurs élites pouvaient prendre conscience de la fécondité de cette différence de valeurs, et acceptaient de s’en saisir au lieu de se couler dans le modèle dominant, elles rendraient service à la planète entière. Si l’Occident acceptait une Afrique majeure au lieu de toujours, d’une manière ou d’une autre, vouloir la maintenir sous sa coupe, alors le cours du monde pourrait en être changé. Le monde a besoin d’une Afrique sujet et non plus objet. C’est en ce sens qu’une véritable rencontre, féconde, pourrait avoir lieu au bénéfice de tous. Lorsque des associations humanitaires demandent à Serge Latouche « que pouvons-nous faire pour l’Afrique ? », il répond, volontairement provocateur : « Plier bagage ; la laisser tranquille ». Abandonner l’Afrique ? Le vrai problème n’est pas que nous l’abandonnions, c’est qu’elle s’abandonne elle-même et que, ce faisant, elle nous abandonne nous...
http://manuscritdepot.com/a.freddy-monanga.1.htm
Pourquoi l’Afrique s’entête t-elle a
suivre le modèle industriel Européens ou de cette communauté mondiale que l’on appelle
l’occident ? Ce modèle a échoué par le fait qu’il ne respecte pas la
nature. Le modèle industriel de
l’occident détruit à petit feu notre environnement vital, notre planète. La totalité
des cours d’eau Européens sont pollués, de même au Canada et aux Etats-Unis d’Amérique.
Dans ces pays, il est recommandé de ne pas consommer les poissons péchés dans les
cours d’eau (pour les cours d’eau qui ont encore des poissons). Les eaux sont tellement polluées qu’il coute
de plus en plus cher de les traiter pour la consommation humaine.
L’eau coute
de plus en plus chère et dans quelques années, l’eau coutera beaucoup plus chère, au litre,
que n’importe quels vins à cause du coût de son traitement pour qu’elle
soit consommable sans dangers pour les humains. Ce sont les industries et certains
modes de vie qui sont à la base de cette pollution. Si l’Afrique s’industrialise
et s’équipe exactement comme le modèle dit « occidental », ce sera la
fin des êtres vivants sur cette planète. Et malheureusement, les dirigeants
Africains ne l’ont pas comprit. Ils ne réfléchissent pas. Malgré les longues études
faites dans les « grandes universités » du monde et la collection des
diplômes universitaires obtenues, les élites Africaines n’ont toujours pas
comprit les enjeux écologiques qui se pointent à l’horizon.
Comme nous l’écrivions plus haut, le
monde dit « occidentale », avec son industrie et son modèle économique, n’a aucun respect pour la nature.
Apres avoir pollué toute l’Europe, l’Asie, l’Amérique du nord et une partie de
l’Amérique Centrale et du Sud, c’est l’Afrique qui est visée.
L’Afrique n’a pas besoin des engrais
chimique pour développer son agriculture. Les terres Africaines sont très fertile, il y pleut
encore beaucoup a certain endroit comme par exemple au Centre de l’Afrique.
L’Afrique possède des vastes étendues de terre vierge ou l’on peut cultiver
selon les saisons et utiliser des engrais naturelle. La course à la production
ne doit pas être le moteur de l’agriculture Africaine, car cette course à la
production entraine des surproductions que l’économie « occidentale »
ne peut pas mettre sur le marché. Les surproductions sont détruites, brulées. Et
les terres ne peuvent plus rien produire
sans engrais chimique car elles deviennent stériles a force d’utiliser des
produits chimiques. Ses produits s’infiltrent dans les profondeurs des terres,
polluent les terres et finissent souvent dans les nappes phréatiques. Ces dernières
polluent les sources d’eau potable et les cours d’eau, cela transforment les
poissons et les rendent impropres a la consommation, tuent la végétation des
cours d’eau. Les effets vont plus loin ; les animaux de la foret que l’homme consomme deviennent impropre a la
consommation car pollué a cause de l'eau qu'ils consomment.
Un exemple: l’Afrique n’a pas besoin de l’énergie nucléaire qui produit beaucoup de déchets toxiques. Elle a à sa portée toutes les sortes d’énergie renouvelables dont la production ne détruit ni n’endommage notre milieu vital : la Nature. Il suffit de le vouloir puis d’y travailler.
Les modèles de « développement » et d’industrialisation dit « occidental » sont essentiellement basés sur l’argent. L’argent est la raison de vivre de tous ceux qui y participent.
Même leur Aristote,
à l’époque, distinguait déjà l'argent au service de l'économie et l'argent pour
faire de l'argent, c'est a dire la spéculation qui fait des ravages de nos jours.
Et comme l’a dit un jour un sage
homme : Mieux vaut discuter avec quelqu’un qui est ivre de vin qu’avec celui
qui est ivre d’argent (monnaie). Parce que le deuxième a perdu toute son humanité.
Africaines et Africains, il n’est pas
encore trop tard de stopper l’implantation de l’industrialisation pollueuse de
polluants en Afrique. L’Afrique reste le seul continent qui a encore son écosystème
très peu pollué.
Conclusion
Anne Cécile-Robert femme « occidentale »,
juriste et journaliste au Monde
Diplomatique publie un ouvrage en 2004 dont le titre provocateur est :
L’Afrique au secours de l’Occident .Voici ce qu’elle écrit a la fin de l'introduction de son ouvrage : La machine infernale, utilitariste et violente, de l’économisme qui réduit tout à l’état de marchandise - dont l’Occident néolibéral a fait son habit de lumières - heurte l’âme des sociétés de l’Afrique subsaharienne. Parce qu’elles travaillent à contre courant de l’ordre capitaliste et de ses principes directeurs, les valeurs qui traversent le continent noir pourraient être le levier d’une remise en cause de la mondialisation libérale. Cette remise en cause profiterait d’abord à l’Afrique elle-même - résoudre ses maux en plongeant dans son propre patrimoine culturel - tout en ouvrant aussi des perspectives pour un autre monde, plus juste et plus humain dont tous, au Nord comme au Sud, pourront bénéficier.
Si les sociétés africaines et leurs élites pouvaient prendre conscience de la fécondité de cette différence de valeurs, et acceptaient de s’en saisir au lieu de se couler dans le modèle dominant, elles rendraient service à la planète entière. Si l’Occident acceptait une Afrique majeure au lieu de toujours, d’une manière ou d’une autre, vouloir la maintenir sous sa coupe, alors le cours du monde pourrait en être changé. Le monde a besoin d’une Afrique sujet et non plus objet. C’est en ce sens qu’une véritable rencontre, féconde, pourrait avoir lieu au bénéfice de tous. Lorsque des associations humanitaires demandent à Serge Latouche « que pouvons-nous faire pour l’Afrique ? », il répond, volontairement provocateur : « Plier bagage ; la laisser tranquille ». Abandonner l’Afrique ? Le vrai problème n’est pas que nous l’abandonnions, c’est qu’elle s’abandonne elle-même et que, ce faisant, elle nous abandonne nous...
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